Affaire DSK: ces communicants dont on ne parle pas

Publié le par desirsdavenirparis5

Trois journalistes femmes ont écrit une tribune dans laquelle elles affirment ne pas avoir été agressées par DSK. Une indignation légitime. En effet, loin de ce type de ragots, la véritable faute des journalistes n'a rien à voir et est plus à chercher dans la perméabilité des médias au storytelling des agences de communication.

 

Trois consoeurs de trois quotidiens différents ont pris la plume dans Libération pour mettre fin à un buzz fort désagréable. Je résume: DSK étant désormais un harceleur sexuel patenté dans les médias au moins américains, toute femme l'ayant approchée est soupçonnée d'être passée à la casserole, et évidemment les journalistes sont dans le lot. Je comprend qu'on prenne la mouche et la plume pour tenter d'arrêter cette dérive le plus vite possible.


Mais il y a bien eu une faute des médias. Au moins une. Elle s'est produite en 2009 lorsque fut révélée la relation qu'avait eu Dominique Strauss-Kahn avec une économiste hongroise du FMI, Mme Piroska Nagy. DSK était alors le directeur du FMI. Il aurait, de l'aveu postérieur de Piroska Nagy, abusé de sa position hiérarchique. On le sait puisqu'elle l'a écrit: "j'avais l'impression  de perdre si je disais non et de perdre si je disais oui", explique-telle en substance  ..........

 www.marianne2.fr/hervenathan/Affaire-DSK-ces-communicants-dont-on-ne-parle-pas_a108.html

Publié dans DA-PS

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