Karachigate: Millon, Morin, Joly, Bayrou : et maintenant, les politiques se balancent entre eux
19/11/2010 à 08h53 - mis à jour le 19/11/2010 à 12h06 | 10418 vues | 110 réactions
Dernière salve: Hervé Morin estime que François Bayrou doit "dire ce qu'il sait".
Le 13 mai 2002, le président de la Republique Jacques Chirac à Cherbourg aux côtés des familles à la ceremonie organisee en hommage aux onze salariés de la Direction des Constructions Navales ( DCN ) victimes de l'attentat suicide de Karachi ( Pakistan ) Photo MaxPPP |
Depuis que Charles Millon et ses révélations sur l'affaire de l'attentat de Karachi ont ouvert la boîte de Pandore, tous les politiques aux affaires dans les années 93-95 sont cités comme ayant des informations sur ce qui est en train de devenir un "scandale d'Etat" pour reprendre les mots de l'avocat des victimes.
Rappel des épisodes précédents:
1994: d'après Charles Millon, la France a signé un contrat avec le Pakistan pour vendre des sous-marins. Dans ce contrat, des intermédiaires reçoivent des commissions. Des commissions qu'on aurait gonflé délibérément pour que les intermédiaires en reversent une partie à l'équipe de campagne d'Edouard Balladur, histoire de mettre du beurre dans les épinards les comptes de campagne.
1995: .......
Et maintenant, place à la curée........
Sources : lepoint.fr, France Info