Nicolas Sarkozy à la télévision, ses erreurs et ses approximations

 Par Thomas Bronnec, Julie de la Brosse, Emilie Lévêque, Yves Adaken et Laura Raim - publié le 17/11/2010 à 16:17

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Crise, retraites, Bettencourt, DSK, fiscalité, emploi... Interviewé par Claire Chazal, David Pujadas et Michel Denisot, le président de la République s'est un peu arrangé avec la réalité économique et sociale. Décryptage.

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"Le premier livre blanc sur les retraites, c'est Michel Rocard en 1991... Dix-neuf ans de débats avant d'agir!" 

"Voilà, on a fait cette réforme, sachez qu'en 2020, le régime des retraites sera excédentaire"

"Expliquer qu'en mettant dehors un homme de 55 ans, on crée un emploi pour un homme de 25 ans, c'est une absurdité"

Dominique Strauss-Kahn a dit: "il faut augmenter la durée de vie au travail"

La France sort de la crise "mieux que les autres, et avant les autres"

"La réforme permettrait d'harmoniser la fiscalité française et la fiscalité allemande, parce que je ne veux plus de délocalisation, parce que je souhaite qu'on garde des industries en France"

"Le chômage reculera l'année prochaine, l'économie est en train de repartir, on peut s'en sortir"

"Il n'y aura pas d'augmentation d'impôts, il y aura des réductions de dépenses"

"On ne peut plus rester dans cette pagaille monétaire qui est extraordinaire. Il faut un nouveau système monétaire international"

Affaire Bettencourt : "L'essentiel de son argent, c'est qu'elle a les actions de l'Oréal et comme elle n'est pas mandataire social, ça revenait à lui faire payer un impôt sur une société qui lui appartient, et si elle ne lui appartient plus, elle part en Suisse"

"Si la situation ne devait pas s'améliorer, cela posera inéluctablement le problème de la pérennité des entreprises françaises en Birmanie"

 www.lexpansion.com/economie/sarkozy-a-la-tele-ses-erreurs-et-ses-approximations_242699.html?p=2